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L'équipe Vintage Rides
Matthias, Ancien Consultant devenu Garage Manager à New Delhi


Partez à la rencontre de Matthias, un ancien consultant devenu "Garage Manager" pour Vintage Rides à New-Delhi. Redécouvrez son parcours en Inde et au sein de notre agence de voyages à moto.

Age : 33 ans
Né à : Paris
Originaire de : Russie du côté de mon père et Egypte du côté de ma mère
Motard depuis : 2012
Vit à : New Delhi
Ton inspiration moto : Toutes les bécanes des films Mad Max, notamment les mythiques Kawazaki Z1000 redessinées par Bertrand Cadard, ou bien celles du dernier volet Fury Road. Il y a même un side-car Royal Enfield qui s'y cache....
Surnom dans l'équipe : L’éternel optimiste

<h2>Salut Matthias ! Comment ça va à Delhi ?</h2>
 
Je travaille beaucoup, ce qui m’occupe ! Lors de l’annonce du confinement j’ai fait le choix de rester à New Delhi plutôt que de rentrer en France, car je considère que ma vie est désormais ici. Dans ce contexte particulier, la capitale indienne est méconnaissable. Les rues sont quasi-désertes et le son berçant des Enfields se fait très rare. Le chant des oiseaux et les sollicitations de nos vaches sacrées sont, eux, beaucoup plus audibles. 
 
Pendant mon temps libre, je m’occupe de ma moto, je prends un maximum de nouvelles de mon entourage en France, et je découvre des classiques bollywoodiens. J’ai un petit coup de coeur pour le très culte Sholay de 1975 ("Braises" en français) avec Amitabh Bachchan et Dharmendra. J’adore la scène culte et folklorique du début du film, où ils chantent leur amitié sur un side-car Enfield.

Salut Matthias ! Comment ça va à Delhi ?

Je travaille beaucoup, ce qui m’occupe ! Lors de l’annonce du confinement j’ai fait le choix de rester à New Delhi plutôt que de rentrer en France, car je considère que ma vie est désormais ici. Dans ce contexte particulier, la capitale indienne est méconnaissable. Les rues sont quasi-désertes et le son berçant des Enfields se fait très rare. Le chant des oiseaux et les sollicitations de nos vaches sacrées sont, eux, beaucoup plus audibles.

Pendant mon temps libre, je m’occupe de ma moto, je prends un maximum de nouvelles de mon entourage en France, et je découvre des classiques bollywoodiens. J’ai un petit coup de coeur pour le très culte Sholay de 1975 ("Braises" en français) avec Amitabh Bachchan et Dharmendra. J’adore la scène culte et folklorique du début du film, où ils chantent leur amitié sur un side-car Enfield.

Comment es-tu arrivé chez Vintage Rides ?

La première fois que j’ai découvert l’Inde, c’était en 2008 à l’occasion d’un échange universitaire à Bangalore. J’ai complètement accroché avec le pays et me suis promis de revenir y vivre un jour. J’ai ensuite commencé à travailler dans le monde du conseil à Paris. Pendant 10 ans, j’ai touché à énormément de secteurs différents avec des équipes variées. C’était pas mal de challenges et de stress mais j’ai adoré cette période. En parallèle, je revenais en Inde plusieurs fois par an pour voyager. Je gardais en tête l’idée de venir vivre ici, ça ne me lâchait pas. J’ai fini par postuler au poste d’International Garage Manager dans l'agence de voyages à moto Vintage Rides, et ça a été l’élément déclencheur de mon déménagement. Ce n’est pas facile de quitter un emploi stable et une vie confortable qui m’était agréable, pour aller vivre dans un environnement à l’extrême de ce dont on a l’habitude. Mais l’Inde m’a convaincu de passer le cap !

Ce que j’aime ici, c’est l’intensité folle de tout ce qui se passe, les barrières culturelles à apprivoiser, et le mode de vie plus cool et folklorique qu’en Occident. L’Inde, c’est un nouveau monde dans lequel on apprend tous les jours, et qui nous oblige à sortir de notre zone de confort.

J’ai donc intégré l’équipe de Vintage Rides au bureau de Delhi en février 2019. Mon périmètre en tant qu’International Garage Manager couvre les opérations liées à la chaîne logistique motos pour l'ensemble des destinations proposées par Vintage Rides. L’objectif premier de la team Garage est de fournir à nos clients des bécanes de qualité, et un savoir mécanique à chaque instant, quelles que soient les contraintes du terrain.

<h2> Comment es-tu arrivé chez Vintage Rides ? </h2>
 
La première fois que j’ai découvert l’Inde, c’était en 2008 à l’occasion d’un échange universitaire à Bangalore. J’ai complètement accroché avec le pays et me suis promis de revenir y vivre un jour. J’ai ensuite commencé à travailler dans le monde du conseil à Paris. Pendant 10 ans, j’ai touché à énormément de secteurs différents avec des équipes variées. C’était pas mal de challenges et de stress mais j’ai adoré cette période. En parallèle, je revenais en Inde plusieurs fois par an pour voyager. Je gardais en tête l’idée de venir vivre ici, ça ne me lâchait pas. J’ai fini par postuler au poste d’International Garage Manager dans <a href="https://www.vintagerides.com/">l'agence de voyages à moto</a> Vintage Rides, et ça a été l’élément déclencheur de mon déménagement. Ce n’est pas facile de quitter un emploi stable et une vie confortable qui m’était agréable, pour aller vivre dans un environnement à l’extrême de ce dont on a l’habitude. Mais l’Inde m’a convaincu de passer le cap !
 
Ce que j’aime ici, c’est l’intensité folle de tout ce qui se passe, les barrières culturelles à apprivoiser, et le mode de vie plus cool et folklorique qu’en Occident. L’Inde, c’est un nouveau monde dans lequel on apprend tous les jours, et qui nous oblige à sortir de notre zone de confort. 
 
J’ai donc intégré l’équipe de Vintage Rides au bureau de Delhi en février 2019. Mon périmètre en tant qu’International Garage Manager couvre les opérations liées à la chaîne logistique motos pour l'ensemble des destinations proposées par Vintage Rides. L’objectif premier de la team Garage est de fournir à nos clients des bécanes de qualité, et un savoir mécanique à chaque instant, quelles que soient les contraintes du terrain.
<h2> Peux-tu nous en dire plus sur l’équipe Garage à Delhi ? </h2>
 
L’ambiance des mécanos entre eux est excellente, presque fraternelle. Il n’y a pas de niveau hiérarchique, tout le monde participe, s’entraide, avec un super esprit d’équipe : une vraie petite famille. Cependant cela ne va pas sans quelques challenges pour moi, car les mécanos ne parlent pas très bien anglais. Il faut que j’arrive à les former sur les standards qualité que l’on souhaite, tout en contournant la barrière de la langue. Il existe aussi énormément en Inde le “jugad” : le système D, le fait de se débrouiller avec ce que l’on a. Et les enjeux actuels sur le Garage nous demandent d’anticiper les besoins, plutôt que d’improviser à la dernière minute, ce qui va à l’encontre parfois de leur culture. 
 
Sinon, j’avais à coeur d’améliorer les conditions de travail de nos mécanos : nous avons renouvelé leur équipement moto (casques, gants…) pour qu’il soit aux normes. Nous avons ré-organisé le garage pour optimiser l’espace de travail et le rangement, et faire une décoration sympa.

Peux-tu nous en dire plus sur l’équipe Garage à Delhi ?

L’ambiance des mécanos entre eux est excellente, presque fraternelle. Il n’y a pas de niveau hiérarchique, tout le monde participe, s’entraide, avec un super esprit d’équipe : une vraie petite famille. Cependant cela ne va pas sans quelques challenges pour moi, car les mécanos ne parlent pas très bien anglais. Il faut que j’arrive à les former sur les standards qualité que l’on souhaite, tout en contournant la barrière de la langue. Il existe aussi énormément en Inde le “jugad” : le système D, le fait de se débrouiller avec ce que l’on a. Et les enjeux actuels sur le Garage nous demandent d’anticiper les besoins, plutôt que d’improviser à la dernière minute, ce qui va à l’encontre parfois de leur culture.

Sinon, j’avais à coeur d’améliorer les conditions de travail de nos mécanos : nous avons renouvelé leur équipement moto (casques, gants…) pour qu’il soit aux normes. Nous avons ré-organisé le garage pour optimiser l’espace de travail et le rangement, et faire une décoration sympa.

Quel rider es-tu ?

J’ai passé mon permis moto à l’âge de 26 ans, motivé par le fait d’avoir une Royal Enfield à la suite de mon voyage en Inde. Je m’en suis achetée une et roulait surtout en Normandie, sur les routes du Cotentin. A cette époque, la marque n’était pas encore très connue en France, ce qui m’a valait pas mal de coups d’oeils !

Aujourd’hui, je roule tous les jours. Que ce soit sur le trajet du bureau dans la circulation typique de Delhi, avec nos riders sur les tours ou pendant mon temps libre pour découvrir de nouvelles traces, il n’y a pas une journée où je ne sors pas ma bécane. Mon compteur affiche entre 15 et 20 000 km/an.

Au quotidien, je roule sur une Classic 500 Desert Storm qui a plus de 200 000 km au compteur… ma chouchoute. Elle a une personnalité et un son inimitable grâce à ses modifications moteur et échappement. De manière générale la Royal Enfield est facile à prendre en main, c’est une moto qui incarne l’Inde et l’authenticité.

<h2> Quel rider es-tu ? </h2>
 
J’ai passé mon permis moto à l’âge de 26 ans, motivé par le fait d’avoir une <a href="https://www.royalenfield.com/fr/fr/motorcycles/">Royal Enfield</a> à la suite de mon voyage en Inde. Je m’en suis achetée une et roulait surtout en Normandie, sur les routes du Cotentin. A cette époque, la marque n’était pas encore très connue en France, ce qui m’a valait pas mal de coups d’oeils ! 
 
Aujourd’hui, je roule tous les jours. Que ce soit sur le trajet du bureau dans la circulation typique de Delhi, avec nos riders sur les tours ou pendant mon temps libre pour découvrir de nouvelles traces, il n’y a pas une journée où je ne sors pas ma bécane. Mon compteur affiche entre 15 et 20 000 km/an.
 
Au quotidien, je roule sur une Classic 500 Desert Storm qui a plus de 200 000 km au compteur… ma chouchoute. Elle a une personnalité et un son inimitable grâce à ses modifications moteur et échappement. De manière générale la Royal Enfield est facile à prendre en main, c’est une moto qui incarne l’Inde et l’authenticité.
<h2>Quelle est la moto de tes rêves? </h2>

J'en ai plein ! Parmi elles : une Ducati GT1000 de 2009, une Norton Commando 850 des années 70 ou une 921 Mk2 de 2018. 

<h2> Quelle est l'aventure dont tu es le plus fier ? </h2> 

En janvier 2020, je suis allé faire seul <a href="https://www.vintagerides.com/voyage-moto/inde-du-nord-rajasthan/"> un voyage moto en Inde du Nord</a> avec notre itinéraire Chic & Charme au Madhya Pradesh. J’ai fait 2400 km de New Delhi à Orccha en 5 jours. Je n’avais qu’une envie : être en vacances et rouler avec ma Bullet !
 
Un jour, ayant pris du retard pendant la journée, je me suis retrouvé sur une étape à la tombée de la nuit. J’étais seul dans la réserve de tigres de Pench, au sud de l'état du Madhya Pradesh. Pour couronner le tout, mon téléphone contenant les traces GPS n'avait plus de batterie et s’était éteint en route. Sachant qu’il y avait potentiellement des tigres sauvages autour de moi, je n’étais pas rassuré… J’étais coincé dans de l'offroad assez technique, mais le point positif est que le bruit de ma bullet a sûrement dû faire fuir les félins. Je n’ai donc vu aucun tigre, et ai fini par retrouver mon chemin.

Quelle est la moto de tes rêves?

J'en ai plein ! Parmi elles : une Ducati GT1000 de 2009, une Norton Commando 850 des années 70 ou une 921 Mk2 de 2018.

Quelle est l'aventure dont tu es le plus fier ?

En janvier 2020, je suis allé faire seul un voyage moto en Inde du Nord avec notre itinéraire Chic & Charme au Madhya Pradesh. J’ai fait 2400 km de New Delhi à Orccha en 5 jours. Je n’avais qu’une envie : être en vacances et rouler avec ma Bullet !

Un jour, ayant pris du retard pendant la journée, je me suis retrouvé sur une étape à la tombée de la nuit. J’étais seul dans la réserve de tigres de Pench, au sud de l'état du Madhya Pradesh. Pour couronner le tout, mon téléphone contenant les traces GPS n'avait plus de batterie et s’était éteint en route. Sachant qu’il y avait potentiellement des tigres sauvages autour de moi, je n’étais pas rassuré… J’étais coincé dans de l'offroad assez technique, mais le point positif est que le bruit de ma bullet a sûrement dû faire fuir les félins. Je n’ai donc vu aucun tigre, et ai fini par retrouver mon chemin.

Raconte-nous une belle rencontre lors de l'une de tes aventures?

En 2019, nous avons ouvert nos tours moto estivaux en Mongolie avec des Himalayan. Je suis allé sur place pour gérer la logistique. Ça a été génial de découvrir la culture mongole que je ne connaissais pas. Trois mots me viennent à l'esprit : hospitalité, curiosité et gentillesse.

Les diners dans les yourtes autour du poêle ont été des moments magiques, où l’on rigole beaucoup avec les familles de nomades. Concernant la Mongolie en général, c’est un véritable paradis de la ride où l’on peut se créer ses propres traces. Je me suis tellement éclaté avec les équipes et les riders Vintage, que j’y suis retourné cet hiver, en décembre. J’ai dormi dans une yourte et ai bu pas mal de vodka : j’ai vécu la vraie expérience locale !

As-tu une anecdote à nous partager sur l'un de tes voyages moto?

Justement, ne jamais abuser de la vodka qu'on vous offre dans les yourtes mongoles ! Surtout en hiver, quand il fait -40°c à l'extérieur....

<h2>Raconte-nous une belle rencontre lors de l'une de tes aventures?</h2>
 
En 2019, nous avons ouvert nos <a href="https://www.vintagerides.com/voyage-moto/mongolie/"> tours moto estivaux en Mongolie</a>  avec des Himalayan. Je suis allé sur place pour gérer la logistique. Ça a été génial de découvrir la culture mongole que je ne connaissais pas. Trois mots me viennent à l'esprit : hospitalité, curiosité et gentillesse.

Les diners dans les yourtes autour du poêle ont été des moments magiques, où l’on rigole beaucoup avec les familles de nomades. Concernant la Mongolie en général, c’est un véritable paradis de la ride où l’on peut se créer ses propres traces. Je me suis tellement éclaté avec les équipes et les riders Vintage, que j’y suis retourné cet hiver, en décembre. J’ai dormi dans une yourte et ai bu pas mal de vodka : j’ai vécu la vraie expérience locale !

<h2>As-tu une anecdote à nous partager sur l'un de tes voyages moto? </h2>

Justement, ne jamais abuser de la vodka qu'on vous offre dans les yourtes mongoles !  Surtout en hiver, quand il fait -40°c à l'extérieur....
<h2>Quels sont tes prochains objectifs ou prochaines envies en rapport avec l'aventure, avec la moto ? </h2>

Le Graal pour tout Vintage Rider : faire l'Upper Mustang au Népal. J’ai à coeur également de participer à la création de nouveaux tours en Inde dans de nouvelles régions. Et j’aimerais réussir un petit challenge personnel : démonter et remonter entièrement une Bullet en moins de 3 jours.

Quels sont tes prochains objectifs ou prochaines envies en rapport avec l'aventure, avec la moto ?

Le Graal pour tout Vintage Rider : faire l'Upper Mustang au Népal. J’ai à coeur également de participer à la création de nouveaux tours en Inde dans de nouvelles régions. Et j’aimerais réussir un petit challenge personnel : démonter et remonter entièrement une Bullet en moins de 3 jours.

Quelle est ta plus grande prise de risque, et qu'est-ce que cela t'a apporté à titre personnel ?

Un ride légendaire du Ladakh : le Khalsar - Khardung La - Leh.... en moins d'1H45 montre en main en solo et par temps de pluie ! Pour ceux qui connaissent, cette route en si peu de temps est un vrai challenge à relever.

La partie entre Khalsar et le col du Khardung est magnifique....une montée aux milles couleurs mais elle devient un challenge physique par temps de pluie. Elle s'achève par un offroad boueux et caillouteux sur les 10 derniers kilomètres...et le tout pendant que l'air manque dans ton carbu et tes poumons. Le Khardung se mérite. Une fois atteint le col du Khardung, il faut redescendre à Leh. Cette deuxième partie commence par un autre offroad de 10km caillouteux, également emprunté par les camions de l'armée indienne qui viennent ralentir ton allure. Les Yaks stationnés dans les virages n'aident pas non plus. Ensuite de nombreuses épingles ponctuent la route jusqu'à Leh. Un manque d'attention à vive allure dans cette descente peut donc être fatal.

A titre personnel, c'est un accomplissement d'avoir rider le Khardung qui est un rêve pour beaucoup de motards. La vue tout du long est un souvenir inoubliable. avec d'un côté les reflets or/cuivre des monts de la Nubra Valley et de l'autre les touches verdoyantes de la ville de Leh. De plus, tenir ce chrono en bullet 500 sans détruire ses segments ou crever est épique.
C'est pour cela qu'on l'aime notre bullet nan?! L’été dernier en 2019 pendant la saison ladakhi. Pour VR pour opérer la saison, est allé repérer les traces, ne connaissait pas du tout, a pris une bike VR pour se balader. A roulé trop vite, standard Bullet une nouvelle, avait 2000 km au monteur

<h2>Quelle est ta plus grande prise de risque, et qu'est-ce que cela t'a apporté à titre personnel ? </h2>

Un ride légendaire du Ladakh : le Khalsar - Khardung La - Leh.... en moins d'1H45 montre en main en solo et par temps de pluie ! Pour ceux qui connaissent, cette route en si peu de temps est un vrai challenge à relever. 
 
La partie entre Khalsar et le col du Khardung est magnifique....une montée aux milles couleurs mais elle devient un challenge physique par temps de pluie.  Elle s'achève par un offroad boueux et caillouteux sur les 10 derniers kilomètres...et le tout pendant que l'air manque dans ton carbu et tes poumons. Le Khardung se mérite. Une fois atteint le col du Khardung, il faut redescendre à Leh. Cette deuxième partie commence par un autre offroad de 10km caillouteux, également emprunté par les camions de l'armée indienne qui viennent ralentir ton allure. Les Yaks stationnés dans les virages n'aident pas non plus. Ensuite de nombreuses épingles ponctuent la route jusqu'à Leh. Un manque d'attention à vive allure dans cette descente peut donc être fatal. 
 
A titre personnel, c'est un accomplissement d'avoir rider le Khardung qui est un rêve pour beaucoup de motards. La vue tout du long est un souvenir inoubliable. avec d'un côté les reflets or/cuivre des monts de la Nubra Valley et de l'autre les touches verdoyantes de la ville de Leh.  De plus, tenir ce chrono en bullet 500 sans détruire ses segments ou crever est épique. 
C'est pour cela qu'on l'aime notre bullet nan?! L’été dernier en 2019 pendant la saison ladakhi. Pour VR pour opérer la saison, est allé repérer les traces, ne connaissait pas du tout, a pris une bike VR pour se balader. A roulé trop vite, standard Bullet une nouvelle, avait 2000 km au monteur

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